Don_Torelli [Octo] VS TheDunGeOnKeePeR [K.L]

15 Juin, Little Italy

Alors que la petite ville de Little Italy était à feu et à sang, un des quartiers de la ville semblait hors du temps, d'apparence, le quartier n'était qu'un tas de ruines, désert, abandonné par ses habitants... C'est du moins ce que pensaient la plupart des habitants de la ville. La réalité était tout autre, au milieu des ruines de plusieurs dizaines des bâtiments était caché une villa qui ne payait pas de mine, et pourtant, une légende urbaine dit que c'est ici que vit Don Torelli, la légende dit également que seuls les plus proches lieutenants du Don peuvent approcher, la présence de douilles tout autour de la maison était là pour prouver que quiconque s'approcherait du QG du Don, perdrait la vie. La villa était l'exacte réplique de celle qui était construit dans la ville de Las Vegas, où régnait la famille Octopus il y a maintenant quelques années. Seulement les temps avaient changé et peu de gens à Little Italy étaient encore effrayés par cette famille, la pensant finie.

Seulement, ce jour-là, le quartier n'était pas calme comme à son habitude... Des centaines de soldats, embarqué dans des pick-up noirs escortaient à travers toute la ville de grosses berlines aux vitres teintées. Ces voitures abritaient les plus hauts lieutenant de Don Torelli et fonçaient à toute vitesse en direction de la villa.

Arrivés devant la villa, pendant les soldats se postaient tout autour de la villa, les lieutenants accouraient à l'intérieur et on sentait l'inquiétude sur leurs visages. À l'intérieur, le bras droit du Don les attendait :

- Messieurs, suivez-moi ... M. Torelli vous attend, et il déteste attendre

Les lieutenants furent alors conduits jusqu'à un immense bureau, la pièce était si sombre qu'on ne pouvait distinguer le visage de la personne qui était assis à ce bureau, dans cette luxueuse chaise ornée d'or. Pourtant, tous les lieutenants savaient qui se tenait là, et on sentit la peur sur leurs visages, la pièce était silencieuse, le silence paraissait interminable, jusqu'à qu'un des lieutenants voulut prendre la parole, la voix tremblotante :

- Mon... Mon... Monsieur Torelli ? Vous nous avez demandé ?

- Vous êtes en retard !

- Mais... Mais... Monsie...

- STOP ! Je n'ai que faire de vos excuses ! Si je vous ai convoqué, c'est que l'heure est grave !

- Que ce passe-t-il Monsieur ?

- Les gens de cette ville ne nous respectent pas, il nous croit mort, il ME croit mort !

- Nos moyens ne sont plus les mêmes Monsieur, notre armée ne compte pas autant d'hommes qu'auparavant, nous ne pouvons plus nous rendre en ville sereinement, balayé quiconque se met au travers de notre chemin !

- Et bien non Messieurs ! Notre puissance de combat n'est plus la même mais notre honneur est là, et il ne peut être sali sans conséquence. Un petit mafieux d'un quartier voisin se croit tout permis, il terrorise nos femmes et nos enfants, il est temps de se venger ! Allez voir mon bras droit afin qu'il vous donne des armes, armés vous jusqu'aux dents, rendez-vous dans le quartier voisin et abattez-moi cet homme !

- Qui est cet homme ?

- Il se fait appeler TDK, c'est un petit truand qui croit pouvoir piller nos commerçants en toute impunité !

- Monsieur Torelli ... Nous le connaissons très bien ! Notre armée n'est pas de taille ...

- Peu importe les pertes, il est question ici de notre honneur, peu importe l'issue, bonne ou mauvaise

- C'est du suicide Monsieur !

- Faites ce que je vous dis où je vous fais abattre ! Vous préférez mourir déshonoré ?


C'est alors que les lieutenants quittèrent le bureau, dehors, le bras droit du Don les attendait pour les accompagner jusqu'à dehors. Dehors, étalé sur la pelouse de la villa, se trouvaient des centaines de caisses d'armes. Le bras droit du Don s'exclama alors :

- Prenez tout ! Et lavez l'honneur de notre famille !

Les soldats accouraient alors tous pour se saisir d'une arme, une fois tous armés jusqu'aux dents, ils grimpèrent dans leurs pickups on fonçait à toute vitesse vers le quartier voisin, sans savoir que la mort les attendait là bas ....

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